Hundred fifty days

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Prenez de la pollution, un peu de surpopulation, beaucoup de pauvreté, un zeste de corruption et une touche d’immeubles tristes. Ajoutez un peu de trafic, des trottoirs minés, des moustiques dangereux, des personnes sans bras, sans jambes ou déformés. Mélangez bien et laissez reposer cinq mois. Vous obtiendrez des heures perdues dans des taxis, des perfusions et si vous ajoutez l’ingrédient secret -un repas chez le chinois du coin de la rue-, vous aurez peut-être la chance de voir apparaître une maladie potentiellement grave.

Et un amour inconditionnel pour cette ville pleine de charme. 

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5 réflexions sur “Hundred fifty days

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