Il fallait absolument s’arrêter à Oamaru pour voir les pinguins. Et à Moeraki pour les fameux rochers.
On n’a pas vu les pinguins. Et les rochers, avec tous les touristes et sans le coucher de soleil, c’est pas comme sur les cartes postales. Au lieu de ça on a découvert un Opéra charmant, un bar étrange, de l’art –oui, enfin des têtes de morts et des squelettes accrochés à des grues– et des milliers de piafs réunis sur un ponton pour déféquer ensemble –so romantic-.